Un obélisque pareil au pays d'asterix, on en aurait eu la gaule il y a dix ou quinze ans.
Et pourtant, chacune de ses entrées (de catalogue) - sorties (sur le marché) a beau submerger l'hippocampe d'immenses vagues de plaisir, sa circonférence sur le plan médiatique fait songer davantage aux inondations du poitou qu'aux tsunamis asiatiques.
C'est toujours marrant de voir les journaleux mainstream s'emplir
d'extase à la moindre imitation de cri primal, tout en taisant la sève
exquise distillée par ce label au psychédélisme pur-jus. Encore eut-il
fallu qu'ils le sussent.Et pourtant, chacune de ses entrées (de catalogue) - sorties (sur le marché) a beau submerger l'hippocampe d'immenses vagues de plaisir, sa circonférence sur le plan médiatique fait songer davantage aux inondations du poitou qu'aux tsunamis asiatiques.
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