Cela dit, on peut effectivement trouver depuis quelques jours un
lien entre les deux chevaliers psychédéliques, sous la forme du nouvel
album de Flaming Lips, The terror.
Ben oui, je reviens au galop avec ma ritournelle autour des lèvres enflammées, mais c'est pas de ma faute si ce groupe est si prolifique, et si bon en plus, capable à chaque fois de se réinventer. Un peu l'inverse de Monsieur Shields, qui lui, tel un bluesman du delta ou un prêtre gnawa, creuse inlassablement le même sillon jusqu'à y faire apparaître les trames de formes nouvelles. Entre les deux attitudes, ma préférence va aux deux, youpi, tout le monde a gagné, c'est trop beau la récré.
Ben oui, je reviens au galop avec ma ritournelle autour des lèvres enflammées, mais c'est pas de ma faute si ce groupe est si prolifique, et si bon en plus, capable à chaque fois de se réinventer. Un peu l'inverse de Monsieur Shields, qui lui, tel un bluesman du delta ou un prêtre gnawa, creuse inlassablement le même sillon jusqu'à y faire apparaître les trames de formes nouvelles. Entre les deux attitudes, ma préférence va aux deux, youpi, tout le monde a gagné, c'est trop beau la récré.
Pour ce qui est de The
Terror, ce sont neuf chansons (même nombre que sur mbv...) qui méritent,
tout autant que l'effort pluridécennal de Shields, l'adjectif
fashionista de otherworldly, mais qui aussi, telles les litanies des
ascenseurs texans, peignent des paysages rêches et lunaires.
En
imaginant que, à l'instar de nombreux de leurs compatriotes, les
Flaming Lips passent la plupart de leurs vacances au Mexique, on peut
supposer qu'ils aient troqué la jungle caribéenne et ses champignons
bariolés contre le désert du Sonora, avec ses cactus aux lumières
spectrales.
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